Nous pouvons faire le deuil de tout ce à quoi nous sommes attachés et que nous avons perdu : personne, animal, objet, situation, travail, lieu…
Trop souvent, nous confondons deuil et détachement.
Quand nous subissons une perte, nous avons tendance à nous détacher, c’est-à-dire nous couper de ce que nous ressentons au lieu de sentir la protestation, la peur, le chagrin qui font partie des étapes du deuil.

Dans les ateliers que je vous propose, l’expression « faire son deuil» prend corps.
En effet, il s’agit au travers de techniques corporelles de dire « Adieu et merci » à ce que nous avons perdu après avoir clôturé positivement les conflits, rancœurs, chagrins… laissés en suspens avant la séparation.